mercredi 23 janvier 2008

Décidabilité et semi-décidabilité

J'ai insisté sur ce point. J'ai rappelé ce qui était arrivé à d'anciens étudiants qui avaient envoyé un message sur le forum B en rouspétant parce que l'Atelier, quand ils écrivaient une conjecture fausse, ne leur dise pas que la conjecture était fausse : des correspondants leur ont écrit qu'ils feraient bien d'étudier leur cours !

Et je vous ai dit de vous méfier. Si en stage on vous demande de réaliser certains programmes dont on a prouvé que le problème est indécidable, c'est que soit que le demandeur n'a pas appris ses cours (et alors là, c'est dommage que les stages ne soient pas rémunérés, car il apprendrait le coût de la "non connaissance") ou ... ou qu'il veut tester votre niveau.

Et lire le polycop ou les messages du bloc-notes ou d'utiliser wikipedia ou de consulter les cours de bonnes universités ou ...

Bof ! il suffit de raconter ce qui passe par la tête ! par exemple :
"La semi-décidabilité est ce qui permet de mettre en forme le début de l'Atelier B"
C'est quoi le début de l'Atelier B ? et on peut savoir ce que peut être cette mise en forme ?

ou encore
"La semi- décidabilité c'est la moitié d'une décimale"

ou encore
"C'est le fait d'avoir une décision à prendre face à plusieurs choix possibles, que la machine ne peut faire elle-même, d'où l'obligation de faire des implantations."

ou encore
"... c'est quand l'Atelier B ne veu (sic) pas prouver car c'est "c'est bon mais pas suffisant" (comme condition, précondition, invariant) "
L'Atelier qui veut ! "c'est bon mais pas suffisant"

ou encore
"C'est donc lorsqu'on peut choisir qu'à moitier (sic) "

Un étudiant qui ne sait pas répondre, donne une leçon à l'enseignant :
Je demandais d'expliquer bien et court ce qu'est la semi-décidabilité. Il m'écrit :

"bien et court" peut-être assimilé au terme "conscit". Merci !

Aucun commentaire: